Chez Paradigme, nous croyons au modèle multi-marques pour aider les marques à se lancer facilement en seconde main

Convaincue qu’il est grand temps de s’engager dans la seconde main, une marque peut décider aujourd'hui d’y aller toute seule, ou avec un partenaire qui lui développera un onglet d’articles d’occasion sur son site.

Au-delà de l’argument économique, les arguments en faveur de l’offre de Paradigme tiennent à des racines plus profondes sur la cohabitation, dans la mode, du neuf et de l’occasion.

Se lancer dans le marché de l'occasion : une complexité pour les marques

Malgré les potentielles initiatives des marques en faveur de la seconde main, le cœur de leur offre est, et restera, la première main : concevoir et produire des articles que nous aimons porter. Se lancer dans le marché de l’occasion revient à s’éloigner de ce cœur de métier. Cela prend du temps, de l’énergie, et cela peut ne pas prendre.

Une offre de seconde main qui peut être déceptive

Une offre de seconde main lancée en propre prend le risque, au choix, de manquer de profondeur et d’être déceptive pour le client n’ayant pas trouvé son bonheur dans les quelques articles disponibles, ou d’être trop fournie pour un site qui met en avant, d’abord, ses articles neufs. Dans ce deuxième cas, la marque prend le risque de manquer de traction pour son offre d’occasion et de se retrouver avec un coûteux stock de seconde main sur les bras.

La marketplace multi-marques et spécialisée en mode d’occasion a l’avantage d’à la fois bénéficier d’une offre plus riche et d’une plus forte traction au sein des clients cibles.

Les acheteurs de neuf et les acheteurs de vêtements d'occasion sont encore assez différents

Si nous mettons en avant ce sujet de traction au sein des clients cibles, c’est que, bien que la frontière entre acheteur de première et de seconde main d’une marque tende à s’amenuiser, elle demeure bien réelle. On ne s’adresse donc pas à l’un avec les mêmes arguments qu’à l’autre. Les marques ne pourront donc lancer une offre de seconde main sans un effort conséquent dans leur discours pour promouvoir cette nouvelle offre.

Un risque de cannibalisation

Et même dans le cas d’un scénario apparemment idéal pour la marque, où son offre de seconde main serait suffisante mais pas trop pléthorique, avec un discours attractif pour le consommateur de seconde main, elle prend le risque de mettre en concurrence directe, sur le même canal, ses articles de première et seconde main, et d’ainsi cannibaliser ses ventes.

 

Vous l’aurez compris, une marque a tout intérêt à faire confiance à une plateforme multi-marques pour relayer son offre de seconde main : Paradigme par exemple ?